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Du virus à l’identité électronique en passant par l’expérimentation policière #2

mercredi 6 mai 2020, par Puissance Plume

A nouveau, je compile quelques témoignages et articles qui me semblent importants de connaître.


Marre de la pub !

L’image ci-dessous a été expédiée par mail dans ma boîte aux lettres électronique avec le : Covid-19 : Votre mobile est en attente !!

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Publicité reçue sur ma boîte mail le 7 mai 2020

Effectivement, je n’ai pas de téléphone portable ! Bravo pour l’initiative madame la CEO de Amazon.
Je suis pour interdire toute publicité !


Jean-Dominique Michel, 26 avril 2020

Voilà une analyse de la pandémie (à l’échelle du monde) et des différentes politiques sanitaires, proposée par l’anthropoloque de médecine suisse J.-D. Michel (Vidéo 1h09).

Transcription de l’essentiel :

D’après ce qu’on sait aujourd’hui, les caractéristiques de l’épidémie de covid, en termes de contagiosité, de dangerosité, de létalité, sont exactement les mêmes - en termes d’ordres de grandeur - que les épidémies d’influenza qu’on a, années après années. Ni plus, ni moins.

Et puis depuis le début, on a ce traitement médiatique assez halluciné qui en fait une espèce de catastrophe apocalyptique. Avec un ensemble d’indicateurs qui sont balancés à la face des gens. Et dont j’ai dit depuis le début, vous feriez la même chose avec la grippe années après années, ou avec les cancers, ou avec les maladies cardiovasculaires, vous génèreriez le même état de terreur dans la population.

Ca c’est une chose. Et la deuxième chose, c’est qu’il y a effectivement une mortalité très importante dans nos pays. Plus que partout ailleurs. Avec un discours de la part des autorités qui est intenable sur le plan scientifique, qui est le fait de dire "heureusement qu’on a confiné les gens, regardez le nombre de morts que ça génère, et si on l’avait pas fait il y aurait encore plus de morts".

Alors qu’une analyse scientifique de la situation nous montre que les pays où le taux de mortalité a été le plus faible - et je rappelle quand même qu’en Corée du Sud, le taux de mortalité était de 4 par million d’habitants, en Suisse actuellement on est à 180, en Espagne on est à 400. Donc voyez l’ordre de grandeur : on est à cent fois plus de morts en Espagne qu’en Corée.

Toute l’épidémiologie infectieuse nous apprend que ce que l’on a fait est l’inverse de ce qu’il fallait faire. Il ne faut surtout pas confiner l’ensemble de la population comme on l’a fait. Il faut dépister très rapidement pour voir quelles sont les personnes contagieuses et, elles, les isoler le temps qu’elles ne le soient plus. Et si jamais on fait cela, l’épidémie passe en quelques semaines sans faire de dégâts.

Nous on a fait tout l’inverse, avec des pertes massives. Donc ce que je dis, c’est que l’essentiel des morts du covid sont des morts "politiques". Ce sont des morts comme conséquence d’une politique sanitaire imbécile, et létale. Donc ça a tué des milliers de personnes. Des décès évitables si on avait réagi intelligemment.

Et des autorités qui viennent nous dire de manière scandaleuse : "regardez à quel point le virus est dangereux". Alors à nouveau qu’il n’est pas plus dangereux que le virus de la grippe. Donc on marche vraiment sur la tête, on est dans des zones de malhonnêteté intellectuelle et à mon sens même, de perversité.


Génocide des vieux, assumé ou pas, mais réel

Deux informations nous montrent que le gouvernement a procédé à un génocide :

  1. Extrait :

    « les directives du 19 mars 2020 émises par le gouvernement ont demandé aux services de réanimation de ne plus accepter les personnes âgées et fragiles. Ça a eut un effet puisqu’on a pu constater que le 3 avril, le nombre de personnes de plus de 75 ans avait diminué de moitié dans les amissions en service de réanimation. Et en parallèle, il y avait eu 50% de mortalité de plus pour les personnes de plus de 75 ans. Donc ça veut dire que de façon efficace et délibérée, le gouvernement est à l’origine d’un véritable génocide. »

    Source : interview du Dr Charbonnier, Toulouse 26 avril 2020 suite aux révélations du journal "Le Canard Enchaîné" du 22 avril.

  2. J’ai déjà parlé de l’autorisation et de l’incitation faite aux médecins de mettre fin à la vie des gens sans l’avis ni du malade, ni de la famille, avec le médicament Rivotril. Voir Les décret des 23 et 28 mars 2020 ; si je croyais à "la France", j’aurais honte !!!

Sur l’hypothèse que le covid est un bricolage échappé d’un laboratoire de Wuhan

Ajout du 10 mai 2020 : je signale qu’André Bercoff sur Sud Radio a donné la parole au Pr Montagnier le 30 avril dernier : Dr Montagnier - "Par accident, un chercheur aurait pu faire sortir le Covid-19 de ce labo !".

Le professeur Luc Montagnier a avancé cette hypothèse dans une interview le 16 avril 2020 par le docteur Jean-François Lemoine à la radio [1], puis le 17 avril dans une vidéo sur CNews [2].
Pour lui, on trouve dans l’ARN du covid-19 plusieurs petites séquences du VIH qui ne peuvent pâs être autre chose qu’une insertion génétique, réalisée par des outils de laboratoire de virologie. Et il émet l’hypothèse qu’un laboratoire à Wuhan essaye de bricoler un vaccin contre le virus du SIDA. L’idée est de partir d’une souche de virus de chauve-souris, un corona, parce qu’il peut se interagir sur l’humain, d’essayer d’en atténuer sa dangerosité, d’insérer des petites séquences de VIH pour qu’une immunité au VIH se réalise chez le patient à qui on a injecté le produit.
L’idée qu’un virus aurait pu sortir d’un laboratoire dans la ville de Wuhan est rendue encore plus plausible par l’enquête publiée par PMO (Pièces et Main d’Oeuvre) le 26 avril 2020 : Le virus à venir et le retour à l’anormal. L’article raconte comment la France et les U.S.A. ont aidé la Chine à construire des dizaines de laboratoires de virologie P2,P3,P4 (P4 désigne des endroits où l’on manipule des virus de haute dangerosité). Extrait :

Quant à Richard Ebright, l’expert en biosécurité, il estime que le niveau P2 n’assure pas la sécurité nécessaire pour travailler sur des coronavirus.Comme dit Frédéric Tangy, de l’Institut Pasteur : « Il suffit qu’un chercheur renverse un flacon. Malgré la hotte aspirante, un aérosol se forme et il est infecté sans s’en rendrecompte. À la fin de la journée, il quitte le laboratoire, et contamine toute sa famille et ceux qu’il croise ».

Si un virus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan, c’est plus probablement du P2 du Center for Disease Control que du P4 duWuhan Institute of Virology (WIV). On ne le saura sans doute jamais.

En revanche, on sait que le WIV, dans son enceinte P4, étudie de près ces virus issus de chauve-souris. C’est lui qui a révéléle lien du Covid-19 avec ces animaux. Plus précisément, c’est l’équipe de la chercheuse Shi Zhengli, celle qui a démontré que les coronavirus pouvaient interagir avec un récepteur humain nommé ACE2, et donc contaminer les humains.

Voici la transcription des interviews de Luc Montagnier des 16 et 17 avril :

Voici la transcription des interview du Pr Luc Montagnier.

Interview de Luc Montagnier, 16 avril 2020, Pourquoi Docteur
https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/32184-EXCLUSIF-Pour-Pr-Montagnier-SARS-CoV-2-serait-virus-manipule-Chinois-l-ADN-de-VIH-podcast

Docteur Lemoine : Professeur Montagnier bonjour. Ce coronavirus a été décodé assez rapidement par rapport à d’autres comme celui du VIH qui vous a valu votre prix Nobel de médecine. Mais selon vous, ce décryptage est incomplet.
Luc Montagnier : C’est-à-dire que le laboratoire de la ville de Wuhan s’est spécialisé sur ce type de virus, "ces" coronavirus depuis très longtemps, depuis le début des années 2000. Donc ils ont une expertise dans ce domaine. Et ce qui m’a poussé si vous voulez à regarder de près la description du génome, c’est-à-dire la séquence de l’acide nucléique qui est un ARN de ce virus. Voilà, alors ça c’est le début d’une analyse qui a été faite non seulement par moi, mais aussi et surtout par mon collègue mathématicien - il s’appelle Jean-Claude Pérez - et qui continue maintenant à développer ce que j’appellerai une "biomathématique" c’est-à-dire l’appliction des mathématiques à la biologie. Et alors donc il a donc effectivement fouillé dans les moindres détails de la séquence. On a pas été les premiers puisqu’un groupe de chercheurs indiens a publié - enfin a essayé de publier - une analyse qui montrait que le génome complet de ce virus, de ce nouveau virus, de ce coronavirus, avait des séquences d’un autre virus qui est - ô surprise our moi - le VIH, le virus du SIDA. Alors ceci a été publié d’abord par le groupe indien. On l’a obligé de se rétracter. Parce qu’il y a une énorme pression pour tout ça. pour que la vérité se fasse jour. Mais la vérité scientifique finit toujours par dominer, par émerger de tout ce qu’on veut cacher.
Docteur Lemoine : On peut comprendre que trouver des morceaux de VIH dans ce virus a du vous troubler. Mais n’est pas tout simplement une mutation naturelle de ce virus dans l’organisme d’un malade atteint du SIDA ?
Luc Montagnier : Euh non, parce que, si vous voulez, pour insérer une séquence de VIH dans le génome, il faut avoir des outils moléculaires, c’est pas le patient qui va le faire. C’est l’homme de laboratoire. Il y a quelques années c’était [incompréhensible], maintenant c’est beaucoup plus facile.
Docteur Lemoine : Cette hypothèse naturelle étant levée, ce ne peut être donc qu’une manoeuvre délibérée.
Luc Montagnier : Alors l’hypothèse, c’est que ce virus sort du laboratoire de Wuhan, il y a un laboratoire de haute sécurité malgré tout, ce virus a "échappé" peut-être à ses promoteurs et l’histoire du marché aux poissons est une belle légende si vous voulez mais ce n’est pas possible. Il y a très peu de chance qu’un virus de chauve-souris, parce qu’au départ, ils ont travaillé sur un modèle qui est un virus de chauve-souris et c’est ce virus-là qu’ils ont modifié.
Docteur Lemoine : Mais leur but était de fabriquer une arme biologique, un virus agressif, ou ce qui serait plus tolérable fabriquer un vaccin contre le SIDA ?
Luc Montagnier : Je pense, enfin c’est l’hypothèse la plus raisonable, c’est de penser qu’ils voulaient faire un vaccin contre le VIH, donc ils utilisaient un coronavirus qui en principe pouvait être atténué et ne pas donner de maladie, comme "vecteur" si vous voulez, comme "porteur" des antigènes, enfin des parties de molécules du virus du SIDA qui pouvaient servir à un vaccin.
Docteur Lemoine : C’est donc l’histoire de l’arroseur arrosé version tragique.
Luc Montagnier : Voilà, c’est un travail d’apprenti sorcier si vous voulez. Alors malheureusement, enfin on connaît beaucoup de choses en biologie moléculaire, on peut faire des bricolages. Mais on a oublié, ou plutôt on a pas perçu, le fait que nous sommes dans la nature depuis, enfin nos ancêtres sont là depuis des millions d’années, et la nature ne tolère pas n’importe quoi c’est-à-dire qu’il y a des harmonisations et c’est ce que mon collègue Pérez a beaucoup développé dans les années précédentes c’est-à-dire que la nature n’admet pas n’importe quelle construction moléculaire ou si elle est souffre, elle essaye de les éliminer.
Docteur Lemoine : Et c’est ce qui est en train de se passer, selon vous, la nature nous offre un rattrapage ?
Luc Montagnier : Alors c’est la deuxième partie de mon message si vous voulez, ce qui est en train de se passer, c’est que la nature élimine ces corps étrangers du génome du coronavirus et on assiste à un nombre de mutations spectaculaire, ce qu’on appelle maintenant des délétions parce qu’on enlève les morceaux qui ont été altérés, des morceaux du VIH, la nature les enlève spontanément au fur et à mesure que le virus passe d’un patient à l’autre. Et ça on le voit maintenant surtout chez les patients américains qui ont été les derniers infectés et on voit ça sur la côte ouest, la côte pacifique des Etats-Unis, à Seattle par exemple, où bien justement, le virus qui infecte, commence une dégringolade énorme dans cette petite partie du génome du coronavirus.
Docteur Lemoine : Une lueur d’espoir ?
Luc Montagnier : Une lueur d’espoir, faut penser que même si on ne fait rien, les choses vont s’arranger, mais quand même au prix de beaucoup de morts. Donc si on peut accélérer cela, et moi j’ai des propositions à faire mais vous savez j’ai besoin de beaucoup de moyens, j’ai besoin de moyens, mais je pense qu’on peut - par des ondes - si vous voulez, des ondes interférentes, avec les ondes qui sont derrière ces séquences d’ARN, on pourrait peut-être éliminer même chez des patients, on pourrait éliminer ces séquences par des ondes.
Docteur Lemoine : Tout ce que vous venez de nous expliquer Professeur Montagnier est à la fois clair, mais aussi terrifiant. Vous avez la crédibilité du chercheur reconnu et l’aura de votre prix Nobel. Mais ne risque-t-on pas de vous taxer de complotiste ?
Luc Montagnier : Non, les complotistes, c’est plutôt le camp adverse si vous voulez qui cache la vérité. Je vois que les Chinois, moi j’ai beaucoup d’amis en Chine et j’estime la Chine etc. j’ai passé d’ailleurs plusieurs semaines juste avant l’histoire du corona j’étais en Chine, j’estime que le gouvernement chinois faciliterait beaucoup les choses en reconnaissant que les choses se sont passées dans son laboratoire de haute sécurité à Wuhan. De toutes façons la vérité va éclater si vous voulez, ce que j’ai dit les séquences, les insertions de séquences étrangères, y’a pas seulement d’ailleurs les rétrovirus hein, il y a d’autres séquences de par exemple du germe de la malaria etc. Donc tout ceci indique quelques personnes je ne sais pas qui et c’est pas mon rôle d’accuser quelqu’un, quelques personnes ont voulu profiter peut-être, avoir l’idée, de faire un vaccin contre le virus du SIDA en insérant donc des séquences dans ce coronavirus. Bon. Voilà. Alors si le gouvernement chinois reconnaissait àa, ça faciliterait les choses mais c’est à lui de prendre ses responsabilités. Bon. Et je répète la voie d’interdire actuellement maintenant des publications sur l’origine du corona sans avoir le visa des autorités gouvernementales chinoises, c’est une abération et surtout ça donne l’idée maintenant que la science ne dépend pas de la vérité, de la réalité des choses, mais de la volonté de personnes. Alors ça c’est très très mauvais pour la réputation de la science. Donc personne à ce moment-là n’aura confiance dans ce qu’on vous dit sur la science sur les résultats qui sont fabriqués n’est-ce pas. Et si on empêche la vérité d’éclater. Donc c’est une très mauvaise position. J’espère que le gouvernement chinois ira jusqu’au bout : il commence à reconnaître que des travaux ont été fait sur le corona il faut savoir qu’il y a eu une aide américaine, financière importante au moins, mais peut-être aussi scientifique, à ces équipes chinoises, donc ça n’est pas seulement une origine chinoise cette affaire. Mais il faut attendre. Si vous voulez, mon but n’est pas de faire une enquête policière et d’accuser des personnes. Je pense que c’est une erreur. "errare humanum est" disait-on n’est-ce pas en latin, l’erreur est humaine. Et par exemple, autre exemple récent, l’Iran a tué beaucoup de personnes d’un avion en se trompant, ils l’ont reconnu. Bon. Ils l’ont reconnu. J’espère que la Chine est assez grande elle-même pour pouvoir reconnaître une erreur.


Interview de Luc Montagnier, 17 avril 2020, CNews.
https://www.cnews.fr/france/2020-04-17/le-coronavirus-est-un-virus-sorti-dun-laboratoire-chinois-avec-de-ladn-de-vih

Luc Montagnier : Je travaille mais pas forcément au labo puisqu’on travaille sur ordinateur avec un collègue. Et puis c’est tout. On a pas d’expérience si on peut dire mais l’expérience vient de la maladie elle-même, de toutes les mesures qui sont faites actuellement dans les laboratoires, sur les patients.
Journaliste : Et vous êtes arrivé à certaines conclusions...
Luc Montagnier : Je suis arrivé à la conclusion effectivement qu’il y avait une manipulation au sujet de ce virus.
Journaliste : C’est-à-dire ?
Luc Montagnier : Et bien qu’une partie, je dis pas le total n’est-ce pas, il y a un modèle qui est évidemment le virus "classique", et là c’était un modèle venant surtout de la chauve-souris. Mais à ce modèle, on a, par-dessus, on a ajouté des séquences, notamment du VIH, le virus du SIDA.
Journaliste : Mais quand vous dites "on" a ajouté, "qui" a ajouté ?
Luc Montagnier : Ah moi je ne sais pas.
Journaliste : Mais c’est pas "naturel" ? C’est ce que vous voulez dire ?
Luc Montagnier : Non. Ce n’est pas naturel. Il y a un travail de professionnel, un travail de biologiste moléculaire. C’est un travail très minutieux, on peu dire d’horloger sur les séquences.
Journaliste : Dans quel but ?
Luc Montagnier : Dans quel but, ça, ce n’est pas clair. Mon travail c’est d’exposer les faits c’est tout. Je n’accuse personne. Je ne sais pas qui a fait ça, et pourquoi. La possibilité, c’est peut-être que "ils" ont voulu faire - enfin "ils" enfin, on ne sait pas - "on" a voulu faire un vaccin contre le SIDA. Donc on a pris des petites séquences du virus, et on les a installées dans la séquence plus grande du coronavirus.
Journaliste : Je suis pas sûr de comprendre tout ce que vous dites. Dans ce virus, il y a une part de VIH ?
Luc Montagnier : Voilà, c’est ça. Le matériel génétique du virus est un long ruban ARN, comme de l’ADN, mais c’est de l’ARN. ET dans ce long ruban, à une certaine place, on a fixé des séquences, petites, de VIH. Mais ces séquences petites, ne sont pas petites pour ne rien vouloir dire. Elles ont la possibilité de pouvoir modifier par exemple ce qu’on appelle des "sites antigéniques" c’est-à-dire si on veut faire un vaccin, on peut très bien modifier la protéine qui est exposée pour le vaccin par une petite séquence provenant d’un autre virus.
Journaliste : Et vous êtes certain de cela parce que le bruit a couru que c’était une origine humain finalement et ça a été réfuté par la plupart des autorités scientifiques quand même ?
Luc Montagnier : Il y a quand même une volonté d’étouffement, si vous voulez. Les travaux, nous ne sommes pas les premiers. Un groupe de chercheurs indiens très renommés avait publié la même chose, on les aura forcé à rétracter.
Journaliste : On les a forcé comment ?
Luc Montagnier : C’est-à-dire, c’est annulé [il fait un geste de la main comme pour tirer un trait]. Si vous regardez leur publication, vous voyez une grande bande "annulée".
Journaliste : Mais ce que vous dites-là, la plupart des scientifiques disent le contraire quand même.
Luc Montagnier : De moins en moins. Ceci est arrivé au début de cette année. Et on voit arriver de plus en plus de travaux qui suggèrent. Mais si vous voulez, moi je suis on peut dire "hors d’âge". Je suis prix Nobel. Et je peux travailler librement. Je n’ai donc aucune pression sur moi, qui peut agir.

Et voici ci-dessous une sélection des réactions du système en place : "20 minutes" et "Le Monde".

La réaction immunitaire du système en place ne s’est pas faite attendre et est particulièrement violente, exactement comme le lynchage médiatique du Pr Raoult , l’infectiologue qui critique la politique sanitaire du gouvernement.

- Un des articles les plus agressifs est celui de 20 minutes [3] en utilisant l’expression Fake off comme si l’hypothèse était déjà réfutée de manière absolue. Pour ce canard (laquais), il suffit de trouver des scientifiques qui disent le contraire du Pr Montagnier, et hop : « fake off » ! Ceci constitue la négation du fonctionnement de la méthode scientifique.

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Au passage, on notera la vidéo « Oh my fake : c’est quoi le problème avec la chloroquine ? » d’une fille nommée "Spicee" qui démonte le soupçon de complot du gouvernement parce qu’il a interdit à la vente l’hydroxychloroquine en janvier 2020 : cette molécule a été proposée d’être retirée du marché fin 2019. Et effectivement, on trouve bien une recommandation de l’ANSES datant de novembre 2019. Ce qui est effarant, c’est cette utilisation de l’expression "théorie du complot" qui fait peur aux gens. J’en profite pour dire que j’ai écrit un petit article À propos de la "théorie du complot" pour éclaircir un peu dans quel cas utiliser cette formule.
- Evidemment, le journal "Le Monde" n’est pas en reste [4] et parle d’une "thèse choc", crénom de Dieu ! Quel choc !... Et bien sûr, le journaliste ressort les positions de M. Montagnier qui avait critiqué certaines campagne de vaccinations parce qu’elles diminuaient l’immunité des populations : une crime de lèse-majesté que de dire quelque chose opposé à l’orthodoxie... Déjà le 9 mars 2020, ce journal réfutait toute possibilité de combinaison entre le SRAS et le Sida [5] suite à la rétractation de l’étude indienne. et traitait de "complotiste" toute personne reprenant cette hypothèse.


Expérimentations policières

Je vous invite à lire :
- Jean-Marc Royer Carnets de réclusion #1 Coronavirus et dispositifs de contrôle social : l’exemple chinois ; 23 mars 2020
- Jean-Marc Royer Carnets de réclusion #2 Coronavirus et dispositifs de contrôle social : la déclinaison française de l’exemple chinois ; 1er mai 2020.


Expérimentations citoyennes

- Un bon texte de résistance depuis la Montagne Limousine : Le déconfinement n’aura pas lieu 4 mai 2020
- Un choc de culture entre le monologue du virus du 21 mars et L’abject « Monologue du Virus » du 23 mars.
- Et puis toujours la page twitt de Cerveaux non disponibles


Quelques autres sources d’information

- Vincent Reliquet Pandémie COVID-19, l’analyse générale de l’AIMSIB 8 mars 2020. Cet article contient ce graphique qui mérite d’être vu :

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- la page de Jeff du Jardin d’Eden qui contient des vidéos surtout sur la réalité du virus.

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