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La stratégie « antinucléaire » et les ambiguités de Greenpeace France
samedi 4 décembre 2010, par
Lettre N°119 de Stop Nogent
Une analyse de Bella Belbéoch du Comité Stop Nogent à propos de la "stratégie antinucléaire" et des véritables ambiguïtés de Greenpeace France. Cette analyse rejoint notre rubrique "Institutionnalisation des ONG" : Greenpeace se compote comme un champignon qui vit en symbiose avec la bête et qui finalement l’entrentient, ne cherchant absolument pas à la tuer, mais cherchant à s’en nourrir le plus possible sous le motif de "mobiliser contre".
- La stratégie « antinucléaire » et les ambiguités de Greenpeace France
- Les mines d’uranium, la contamination par le radon, la mobilisation antinucléaire
- L’information sur le nucléaire et l’Histoire : censurer le passé !
- Uranium, des français « indésirables » à Tomsk.
- Bulletin d’adhésion
3 décembre 2010 : on découvre une deuxième ex-Greenpeace embauché à "Sortir du Nucléaire"
Quelques personnes ont pu découvrir qu’une nouvelle personne possède un email en sortirdunucleaire.fr : Anne-Laure Meladeck, ex "Climate&Energy Assistant at Greenpeace International". Après Laura Hameaux, c’est la deuxième entrée directe de Greenpeace dans l’association lyonnaise. Les mauvais esprits parlent d’une OPA, orchestrée depuis plusieurs années, avec pierre angulaire le licenciement de Stéphane Lhomme en mars 2010, dans des conditions scandaleuses.